Me revoilà...
L'allaitement de mon troisième enfant es un mot synonyme de douceur...comme l'enfant lui même d'ailleurs...
J'ai eu une grossesse sereine et agitée à la fois...
Sereine, parce que j'avais réussi à refaire ma vie, parce que mon homme avait décidé de retaper un evieille maison pour nous...parce que j'allais pouvoir arrêter de bosser pour m'occuper de mes petits...
Agitée parce que nous avons emménagé en début de grossesse ( à ma demande), et nous étions sur le ciment...
parcequ'à 6 mois et demie j'ai eu des contractions..;et parce qu'il y avait encore des chipottailles au sujet des enfants et de la pension avec leur père....
La fin de grossesse a neanmoins été beaucoup plus calme....et Joss est arrivé le 3 avril 1998, à 1h35 du mat;
Nous nous sommes couchés le 2 , pas très tard, j'ai réveillé mon homme à 11h15, la poche venait de rompre...nous sommes partis tranquillement, et Pépère est arrivé tranquillement, en deux poussées...
Pépère a été immédiatement le surnom qui nous ai venu à la bouche au moment de la naissance, à nous et aux sages femmes. Ce bébé portait la sérénité sur son visage.....
la mise au sein s'est fait très rapidement, comme pour ses frères, et j'ai vraiment vécu le même bonheur, amplifié par la douceur et la tranquilité du bébé...Joos a toujours été l'enfant parfait ( même trop parfois)..on en a quinze des comme lui...ne pleurant jamais, toujours content, jamais malade....
très goulu au sein...pour l'assiette aussi d'ailleurs! les tétées étaient régulières, douces, paisibles.....et quand la tétée tombait à l'heure où il fallait aller chercher les grands à l'école, il prenait un sein, on faisait l'aller retour ( 10mn en moyenne), et il prenait l'autre sein au retour....Que du bonheur!
Le sevrage s'est fait quand il avait trois mois, la source cmmençait à se tarir....à cette époque, mon homme s'était retrouvé au chomage, et ce qu'on faisait, quand Joss avait faim, je le mettait au sein, il prenait le peu qu'il restait, et papa filait préparer le bib....c'était génial, les pleurs n'avaient pas le temps de reveiller les grands la nuit, et comme il n'y avait plus rien au sein, il acceptait volontiers le bib!
Voilà, du bonheur jusqu'au bout, même si ça n'a duré que 3 mois....
L'allaitement de mon troisième enfant es un mot synonyme de douceur...comme l'enfant lui même d'ailleurs...
J'ai eu une grossesse sereine et agitée à la fois...
Sereine, parce que j'avais réussi à refaire ma vie, parce que mon homme avait décidé de retaper un evieille maison pour nous...parce que j'allais pouvoir arrêter de bosser pour m'occuper de mes petits...
Agitée parce que nous avons emménagé en début de grossesse ( à ma demande), et nous étions sur le ciment...
parcequ'à 6 mois et demie j'ai eu des contractions..;et parce qu'il y avait encore des chipottailles au sujet des enfants et de la pension avec leur père....
La fin de grossesse a neanmoins été beaucoup plus calme....et Joss est arrivé le 3 avril 1998, à 1h35 du mat;
Nous nous sommes couchés le 2 , pas très tard, j'ai réveillé mon homme à 11h15, la poche venait de rompre...nous sommes partis tranquillement, et Pépère est arrivé tranquillement, en deux poussées...
Pépère a été immédiatement le surnom qui nous ai venu à la bouche au moment de la naissance, à nous et aux sages femmes. Ce bébé portait la sérénité sur son visage.....
la mise au sein s'est fait très rapidement, comme pour ses frères, et j'ai vraiment vécu le même bonheur, amplifié par la douceur et la tranquilité du bébé...Joos a toujours été l'enfant parfait ( même trop parfois)..on en a quinze des comme lui...ne pleurant jamais, toujours content, jamais malade....
très goulu au sein...pour l'assiette aussi d'ailleurs! les tétées étaient régulières, douces, paisibles.....et quand la tétée tombait à l'heure où il fallait aller chercher les grands à l'école, il prenait un sein, on faisait l'aller retour ( 10mn en moyenne), et il prenait l'autre sein au retour....Que du bonheur!
Le sevrage s'est fait quand il avait trois mois, la source cmmençait à se tarir....à cette époque, mon homme s'était retrouvé au chomage, et ce qu'on faisait, quand Joss avait faim, je le mettait au sein, il prenait le peu qu'il restait, et papa filait préparer le bib....c'était génial, les pleurs n'avaient pas le temps de reveiller les grands la nuit, et comme il n'y avait plus rien au sein, il acceptait volontiers le bib!
Voilà, du bonheur jusqu'au bout, même si ça n'a duré que 3 mois....