depuis hier, je fais partie d'une nouvelle communauté. " allaiter son enfant".
Ayant moi-même allaiter mes quatre enfants, je ne pouvais que me sentir concernée...
Pour aujourd'hui, je vais donc vous raconter l'allaitement de mon premier enfant...voilà pourquoi le 1 au titre, car comme les enfants le sont, chaque allaitement est différent et apporte une nouvelle expérience.
Adrian est né en juillet 89. A la surprise générale. Non, non, tout le monde savait que j'étais enceinte, mais personne n'y croyait! A l'époque, j'étais un véritable courant d'air..faisant la bringue le plus souvent possible....toujours appréciée par les enfants des autres que j'adorais mais ne supportais pas trop longtemps.et puis, bien que faisant partie d'une grande famille, celle ci étant éclatée, j'avais le souvenir d'avoir tenu une de mes nièce dans mes bras quand j'avais 9 ans, et après...plus rien!
Donc, j'allais devenir maman....je ne me doutais pas que ça allait chambouler ma vie à ce point! Je dis toujours que j'ai le sentiment d'avoir exister à compter du moment où adrian est né.....
sa naissance a été très rapide, surtout pour un premier. Je suis arrivée à la maternité, il n'était pas descendu...toutes les contractions me faisaient mal dans les reins, et franchement, je ne m'attendais pas à avoir aussi mal...au premier examen, la sage femme m'a annoncé que j'étais à 2 de dilatation;
Je n'étais pas du tout stressée, mais en rougne d'avoir à souffrir pendant encore un bon moment...et puis, il est arrivé à peine deux heures plus tard....la sage femme qui m'a accompagnée était vraiment formidable, et je me suis souvenue de ses paroles à chaque accouchement...En 2 poussées, mon bébé était là, elle a dégagé les épaules et m'a proposé de le sortir moi- même de mon ventre...moment merveilleux mais bien trop rapide!
J'ai gardé bébé sur mon ventre un moment, puis il est parti au bain. Dès son retour, la sage femme m'a propsé de le mettre au sein. déjà, j'étais époustouflée d'avoir attrapé mon bébé sans me demander comment il fallait le tenir, et il s'est passé la même chose pour la mise au sein: Dès qu'il a senti qu'il était contre moi, il a ouvert de grands yeux, et quand je l'ai approché de mon sein, il a trouvé immédiatement....le miracle de la nature....
Et alors que je me sentais un peu vide: mon bébé n'était plus dans mon ventre....cette sensation quand il s'est mis à téter a dispersé ce sentiment...et je me suis sentie pleine d'amour...et plus forte que jamais.
Ensuite, l'allaitement a été un peu astreignant dans la mesure où bébé était un goinfre mais s'endormait en tétant ( je ne savais pas à l'époque qu el'homéopathie pouvait résoudre cet inconvénient). Résultat: les tétées étaient longues, et il avait faim toutes les deux heures.Au bout de deux mois, mon lait a commencé à ne plus suffire, je pense qu'à l'époque, je ne savais pas qu'il fallait suivre un ealimentation plus riche, et surtout se reposer.
J'aurai bien voulu continuer un peu plus, alors, pendant quinze jours encore, il prenait le sein 10mn, puis un biberon complet pour son âge ( quand je vous le dis...un vrai goinfre). De cette manière là, le sevrage s'est fait de manière très naturelle....car il a vite compris que le biberon était plus facile pour lui;
Je suis une inconditionnelle de l'allaitement pour plusieurs raisons: le coté affectif qui est indéniable, et dont seules les mamans qui ont allaité peuvent parler.
le coté santé me parait très important aussi: si dame nature nous a faites ainsi, il y a bien une raison...
et le coté pratique: pas de bib à stériliser, à faire chauffer, à trimballer, à laver....et pas de pleurs la nuit! dès que bébé se réveillait, je le prenais dans mon lit avec moi, et à table! je m'endormais souvent ainsi, et quand je me reveillais longtemps après, je le remettais dans son lit, et c'éait super....
Adrian a tété partout: dans la voiture, au resto, en ballade...c'est tellement pratique: bébé a faim, hop, c'est prêt!
je n'y ai vu que des avantages et n'ai pas voulu croire qu el'allaitement fatigait...mais, quand j'ai arrété, je me suis très vite sentie bien plus en forme. donc, il ne faut pas nier la chose et savoir se reposer.
Je pense que certaines personnes se sentent prisonnière de l'allaitement. C'est vrai qu'on ne peut pas s'absenter longtemps, mais moi, j'ai été incapable de confier mon bébé à qui que ce soit pendant 3 mois, et encore, le jour où je l'ai laissé à ma mère pour aller promener dansune grande surface, en rentrant dans le magasin, j'ai croisé une maman avce un epoussette...j'ai fait demi tour et suis allée récupérer mon bébé...
Malgré tout ce que je pense de l'allaitement, je respecte tout à fait la personne qui n'a pas envie d'allaiter...il vaut mieux mettre tout son amour dans un bib, que donner le sein comme un eobligation...de toute manière,le bébé le sentira et ça ne se passera pas bien;
par contre, je suis en colère contre le personnel médical qui ne prend pas toujours le temps d'accompagner les nouvelles mères qui ont des difficultés, et à qui on donne un "complement" pour aller plus vite!
combien de bébés seraient allaités par leur mère si de bons conseils et une rassurance étaient dispensées...
voilà pour aujourd'hui....j'ai été un peu bavarde, mais on ne peut pas expliquer ce genr de chose en trois mots...
maintenant je vous laisse, car n'allaitant plus mes deux enfants présents à cet instant à la maison...(11et 18 ans lol!)je peux vous dire qu eeux aussi sont des goinfres et attendent avec impatience la pizza au nutella que je leur ai promise....
A bientôt pour l'allaitement de mon second!
Ayant moi-même allaiter mes quatre enfants, je ne pouvais que me sentir concernée...
Pour aujourd'hui, je vais donc vous raconter l'allaitement de mon premier enfant...voilà pourquoi le 1 au titre, car comme les enfants le sont, chaque allaitement est différent et apporte une nouvelle expérience.
Adrian est né en juillet 89. A la surprise générale. Non, non, tout le monde savait que j'étais enceinte, mais personne n'y croyait! A l'époque, j'étais un véritable courant d'air..faisant la bringue le plus souvent possible....toujours appréciée par les enfants des autres que j'adorais mais ne supportais pas trop longtemps.et puis, bien que faisant partie d'une grande famille, celle ci étant éclatée, j'avais le souvenir d'avoir tenu une de mes nièce dans mes bras quand j'avais 9 ans, et après...plus rien!
Donc, j'allais devenir maman....je ne me doutais pas que ça allait chambouler ma vie à ce point! Je dis toujours que j'ai le sentiment d'avoir exister à compter du moment où adrian est né.....
sa naissance a été très rapide, surtout pour un premier. Je suis arrivée à la maternité, il n'était pas descendu...toutes les contractions me faisaient mal dans les reins, et franchement, je ne m'attendais pas à avoir aussi mal...au premier examen, la sage femme m'a annoncé que j'étais à 2 de dilatation;
Je n'étais pas du tout stressée, mais en rougne d'avoir à souffrir pendant encore un bon moment...et puis, il est arrivé à peine deux heures plus tard....la sage femme qui m'a accompagnée était vraiment formidable, et je me suis souvenue de ses paroles à chaque accouchement...En 2 poussées, mon bébé était là, elle a dégagé les épaules et m'a proposé de le sortir moi- même de mon ventre...moment merveilleux mais bien trop rapide!
J'ai gardé bébé sur mon ventre un moment, puis il est parti au bain. Dès son retour, la sage femme m'a propsé de le mettre au sein. déjà, j'étais époustouflée d'avoir attrapé mon bébé sans me demander comment il fallait le tenir, et il s'est passé la même chose pour la mise au sein: Dès qu'il a senti qu'il était contre moi, il a ouvert de grands yeux, et quand je l'ai approché de mon sein, il a trouvé immédiatement....le miracle de la nature....
Et alors que je me sentais un peu vide: mon bébé n'était plus dans mon ventre....cette sensation quand il s'est mis à téter a dispersé ce sentiment...et je me suis sentie pleine d'amour...et plus forte que jamais.
Ensuite, l'allaitement a été un peu astreignant dans la mesure où bébé était un goinfre mais s'endormait en tétant ( je ne savais pas à l'époque qu el'homéopathie pouvait résoudre cet inconvénient). Résultat: les tétées étaient longues, et il avait faim toutes les deux heures.Au bout de deux mois, mon lait a commencé à ne plus suffire, je pense qu'à l'époque, je ne savais pas qu'il fallait suivre un ealimentation plus riche, et surtout se reposer.
J'aurai bien voulu continuer un peu plus, alors, pendant quinze jours encore, il prenait le sein 10mn, puis un biberon complet pour son âge ( quand je vous le dis...un vrai goinfre). De cette manière là, le sevrage s'est fait de manière très naturelle....car il a vite compris que le biberon était plus facile pour lui;
Je suis une inconditionnelle de l'allaitement pour plusieurs raisons: le coté affectif qui est indéniable, et dont seules les mamans qui ont allaité peuvent parler.
le coté santé me parait très important aussi: si dame nature nous a faites ainsi, il y a bien une raison...
et le coté pratique: pas de bib à stériliser, à faire chauffer, à trimballer, à laver....et pas de pleurs la nuit! dès que bébé se réveillait, je le prenais dans mon lit avec moi, et à table! je m'endormais souvent ainsi, et quand je me reveillais longtemps après, je le remettais dans son lit, et c'éait super....
Adrian a tété partout: dans la voiture, au resto, en ballade...c'est tellement pratique: bébé a faim, hop, c'est prêt!
je n'y ai vu que des avantages et n'ai pas voulu croire qu el'allaitement fatigait...mais, quand j'ai arrété, je me suis très vite sentie bien plus en forme. donc, il ne faut pas nier la chose et savoir se reposer.
Je pense que certaines personnes se sentent prisonnière de l'allaitement. C'est vrai qu'on ne peut pas s'absenter longtemps, mais moi, j'ai été incapable de confier mon bébé à qui que ce soit pendant 3 mois, et encore, le jour où je l'ai laissé à ma mère pour aller promener dansune grande surface, en rentrant dans le magasin, j'ai croisé une maman avce un epoussette...j'ai fait demi tour et suis allée récupérer mon bébé...
Malgré tout ce que je pense de l'allaitement, je respecte tout à fait la personne qui n'a pas envie d'allaiter...il vaut mieux mettre tout son amour dans un bib, que donner le sein comme un eobligation...de toute manière,le bébé le sentira et ça ne se passera pas bien;
par contre, je suis en colère contre le personnel médical qui ne prend pas toujours le temps d'accompagner les nouvelles mères qui ont des difficultés, et à qui on donne un "complement" pour aller plus vite!
combien de bébés seraient allaités par leur mère si de bons conseils et une rassurance étaient dispensées...
voilà pour aujourd'hui....j'ai été un peu bavarde, mais on ne peut pas expliquer ce genr de chose en trois mots...
maintenant je vous laisse, car n'allaitant plus mes deux enfants présents à cet instant à la maison...(11et 18 ans lol!)je peux vous dire qu eeux aussi sont des goinfres et attendent avec impatience la pizza au nutella que je leur ai promise....
A bientôt pour l'allaitement de mon second!