Cet article est entièrement dédié à mon fils Adrian...lui sait pourquoi.....
Mais quand même, je vais vous expliquer pourquoi: tout simplement, il s'agit de son plat préféré ( à égalité sans doute avec la mayonnais!).
Depuis qu'il n'habite plus avec nous, je suis sure que la farinette lui manque plus que sa propre mère (là, j'imagine sa tête quand il va lire ça!)
d'ailleurs, il a essayé d'en faire à deux reprises, mais elle n'était pas très top; Je l'ai rassuré, moi même, il m'a fallu plusieurs tentatives pour un résultat correct....
Historique de la recette:
Ce plat, traditionnel dans la famille, et étant un de mes préférés à moi aussi, m'a toujours été présenté comme un secret familial, venant de je ne sais quelle grand tant ou grand mère...
Il y a 5 ans, en vacances à St flour, ma ville natale, et logeant dans un hotel tenu par une personne avec qui j'avais été à l'école, je vois un jour sur le menu: farinette ( dans toutes ses variantes: salées et sucrées). Quel ne fut pas mon étonnement! j'en fis part à la serveuse...lui expliquant que cette recette, nous nous la tenions de ma grand mère, etc...et là, elle me réponds: mais moi aussi quand j'en fait je dis ça!
Déduction: à presque 40 ans, j'ai appris ce jour là que nous, les auvergnats, nous étions tous cousin, et avions tous la même grand mère!
La recette:
Dans un saladier, je mélange 5 oeufs avec 5 cuillères à soupe de farine (compter donc 1 oeuf par cuil de farine).Je mets suivant le cas, sel, poivre ou bien sucre, et je rallonge avec du lait jusqu'à l'obtention d'une pate à crèpe un peu épaisse. Maintenant, je mets une grosse cuillère de crème fraîche.Ici, on peut rajouter de la ciboulette, des pommes du rhum, ou toute autre fantaisie...
C'est la cuisson qui est particulière: dans une poêle très chaude, faire fondre pas mal de margarine, ensuite, verser la pate d'un coup, et touiller sans s'arrêter.
La pate va prendre petit à petit, lorsqu'elle forme presque une boule, l'aplatir avec la spatule ( si c'est trop collant, mouiller le dessus avec un peu de lait), et maintenant,on ne touche plus à rien, on baisse le feu et on laisse dorer. Ensuite, on la retourne pour faire dorer l'autre face, il faut souvent remettre de la matière grasse.
A déguster chaude avec une bonne salade, et une pensée pour tous les cousins!

Mais quand même, je vais vous expliquer pourquoi: tout simplement, il s'agit de son plat préféré ( à égalité sans doute avec la mayonnais!).
Depuis qu'il n'habite plus avec nous, je suis sure que la farinette lui manque plus que sa propre mère (là, j'imagine sa tête quand il va lire ça!)
d'ailleurs, il a essayé d'en faire à deux reprises, mais elle n'était pas très top; Je l'ai rassuré, moi même, il m'a fallu plusieurs tentatives pour un résultat correct....
Historique de la recette:
Ce plat, traditionnel dans la famille, et étant un de mes préférés à moi aussi, m'a toujours été présenté comme un secret familial, venant de je ne sais quelle grand tant ou grand mère...
Il y a 5 ans, en vacances à St flour, ma ville natale, et logeant dans un hotel tenu par une personne avec qui j'avais été à l'école, je vois un jour sur le menu: farinette ( dans toutes ses variantes: salées et sucrées). Quel ne fut pas mon étonnement! j'en fis part à la serveuse...lui expliquant que cette recette, nous nous la tenions de ma grand mère, etc...et là, elle me réponds: mais moi aussi quand j'en fait je dis ça!
Déduction: à presque 40 ans, j'ai appris ce jour là que nous, les auvergnats, nous étions tous cousin, et avions tous la même grand mère!
La recette:
Dans un saladier, je mélange 5 oeufs avec 5 cuillères à soupe de farine (compter donc 1 oeuf par cuil de farine).Je mets suivant le cas, sel, poivre ou bien sucre, et je rallonge avec du lait jusqu'à l'obtention d'une pate à crèpe un peu épaisse. Maintenant, je mets une grosse cuillère de crème fraîche.Ici, on peut rajouter de la ciboulette, des pommes du rhum, ou toute autre fantaisie...
C'est la cuisson qui est particulière: dans une poêle très chaude, faire fondre pas mal de margarine, ensuite, verser la pate d'un coup, et touiller sans s'arrêter.
La pate va prendre petit à petit, lorsqu'elle forme presque une boule, l'aplatir avec la spatule ( si c'est trop collant, mouiller le dessus avec un peu de lait), et maintenant,on ne touche plus à rien, on baisse le feu et on laisse dorer. Ensuite, on la retourne pour faire dorer l'autre face, il faut souvent remettre de la matière grasse.
A déguster chaude avec une bonne salade, et une pensée pour tous les cousins!
